Monsieur Antoine de Lasalle (Antoine Charles Louis) | ||||||||
Né à METZ 57 le 10/05/1775. Décédé à WAGRAM (Autriche) le 06/07/1809. Enterré à . | ||||||||
Biographie | Le Général Lasalle Inhumé - Hôtel des Invalides, PARIS 75 Général commandant les hussards à la bataille de Wagram Notes individuelles issu d'une ancienne famille de Lorraine, et est arrière-petit-fils du maréchal de France Abraham de Fabert Marquis d'Esternay (1599-1662). (**) Il fut hussard et général, et le chef de la brigade infernale. Il est mort au combat, le 6 juillet 1809, à la bataille de Wagram. +++++ sauva la vie au Maréchal de l'Empire Joachim Murat à HEILSBERG en juin 1807 ++++ En Italie en 1796, il rendit visite à sa maîtresse en se frayant un chemin à travers les lignes autrichiennes Lasalle soutenait que : tout hussard encore en vie à 30 ans était un "j'en-foutre", et fut tué d'une balle dans la tête en chargeant l'Infanterie autrichienne +++++++ http://geneweb.inria.fr/roglo?lang=fr;i=255548 +++++++ Petit Larousse en un seul mot : de Lasalle ++++ Lasalle était intimement lié avec une dame française de haut parage, et pendant son séjour en Égypte, leur correspondance fut saisie par les Anglais, puis injurieusement imprimée et publiée par leur gouvernement , dont l' acte fut généralement blamé, même en Angleterre. Cet éclat entraîna le divorce de la dame, et Lasalle l' épousa à son retour en Europe. Devenu officier général, Lasalle fut mis par l' Empereur à la tête de l' avant-garde de la grande armée. Il se distingua dans la campagne d Austerlitz et surtout dans celle de Prusse, où, avec deux ré-iments de housards, il eut l' audace inouïe de se présenter devant la place forte de Stettin et de la sommer de se rendre ... Le gouverneur, effrayé, s' empressa de lui apporter les clefs Si ce dernier s' en fût servi pour fermer les portes de sa forteresse, toute la cavalerie de l' Europe n' aurait pu la prendre ; mais il n' y songea pas . Quoi qu' il en soit, la reddition de Stettin fit le plus grand honneur à Lasalle et accrut infiniment l' affection que lui portait l' Empereur. Il le gâtait à un point vraiment incroyable, riant de toutes ses fredaines et ne lui laissant jamais payer ses dettes. Lasalle était sur le point d' épouser la dame divorcée dont j' ai parlé plus haut, et Napoléon lui avait fait donner deux cent mille francs sur sa cassette. Huit jours après, il le rencontre aux Tuileries et lui demande : A quand la noce ? - Elle aura lieu, « Sire, quand j' aurai de quoi acheter la corbeille et les meubles. « - Comment, mais je t' ai donné deux cent « mille francs la semaine dernière... qu' en as-tu fait ? « J' en ai employé la moitié à payer mes dettes, et j' ai « perdu le reste au jeu » Un pareil aveu aurait brisé la carrière de tout autre général ; if fit sourire l' Empereur, qui, se bornant à tirer assez fortement la moustache de Lasalle, ordonna au maréchal Duroc de lui donner encore deux cent mille francs. (**) parenté avec le Maréchal de Fabert...= sa cousine Anne-M-Madeleine Dubalay (1737-1783) était mariée avec Abraham Alexandre de Fabert (1735-1806) dont l'Arrière-Grand-Père était le Frère du Maréchal de Fabert ++++ Like Montbrun, he possessed the ability to read battlefield situations and adapt instantly to tactical changes. Although Montbrun enjoyed the unflinching support of his men, LaSalle was absolutely adored by those under his command. They would have followed him anywhere. As with Montbrun, he led from the front and was a brilliant commander of large formations of cavalry. Usually to be found in the thick of the action he was present at Vicence, Rivoli, the crossing of the Piave, and the Tagliamento, the battle of the Pyramids, Salahieh, Redemieh, Samanhout, Thebes, Djehemali, Vinnadella, Austerlitz, Schliez, Zehdenick, Prentzlow, Stettin, Lubeck, Golymin, Ziegelhoff, Heilsberg, Torquemada, the bridge of Cabezon, Medina del Rio Seco, Burgos, Villa Veijo, Medellin, Essling, Raab, and finally Wagram. He was twice captured, suffered a number of wounds, saved Davout's life at Redemieh, and received "un sabre et des pistolets d'honneur" on his return to France. In December 1805 he became General-de-Brigade of the 5e and 7e Hussards which together became known as the "Brigade Infernale", with Colonels Francois-Xavier Schwarz and Ferdinand-Daniel Marx as his regimental commanders. Following his successes at Zehdenick and then Prentzlow, and with only his brigade (some 900 sabres) present, he accepted the surrender without a shot being fired, of the fortress of Stettin, with over 5,000 prisoners and 280 artillery pieces. His weakness, especially in his early years was in fact his flamboyance, which time and again verged on the reckless. He worked hard and played hard and before his marriage was a notorious womaniser. Stories abound concerning the lengths he would go to, and the risks he would take to keep a liaison, even crossing behind enemy lines. One of his fellow carousers and closest friends was the infamous, almost uncontrollable, one commentator even suggested mentally unstable, General Francois Fournier-Sarlovese. The two got themselves into and out of a whole series of potentially serious and dangerous incidents. Not very tall, he looked every inch a warrior, and was by some distance the best of all the light cavalry commanders. A commander who was known, on occasion, to charge with nothing more than his pipe in his hand, mellowed a little and became more responsible after he married Josephine-Jeanne-Marguerite d'Aiguillon, the divorced wife of General Victor-Leopold Berthier, in 1803. LaSalle possessed a keen sense of duty and responsibility and cared for Berthier's three boys, Almeric-Alexandre, Oscar, and Alexandre-Joseph as if they were his own. He and Josephine-Jeanne had their own little girl, Charlotte-Josephine who was born in May 1806. The loss of LaSalle was very much regretted by the Emperor and many under his command were distraught at the news. By Terry J. Senior | |||||||
Joséphine Desbance d'Aiguillon (1771-1850) | ||||||||
Dont |
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Source 1 garric |